26 mars 2024 - Ginini antipode
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La réforme de la facturation électronique ne se limite pas à une dimension fiscale. C’est une occasion unique de renforcer la transparence et l’efficacité de vos processus opérationnels et comptables.

Découvrez les pièges à éviter et les meilleures pratiques pour mettre en place le parcours de transformation qui vous ressemble.

Considérer la réforme comme 100% fiscale

La réforme de la facturation électronique n’est pas une réforme fiscale et/ou une refonte des régimes de TVA.
L‘enjeu principal de cette réforme conduite par la DGFIP est de lutter contre la fraude à la TVA.
L’objectif est donc d’augmenter la transparence et la traçabilité des flux sous-jacents aux déclarations de TVA.

Il nécessite une attention accrue sur :

  • La fiabilité de vos données
  • La traçabilité de vos flux
  • La rigueur des régimes de TVA appliqués à vos transactions, ceux-ci devenant visibles flux à flux dans le cadre de la réforme.

Sous-estimer les aspects organisationnels et humains de la mise en conformité

Étudier les impacts techniques et outils de la réforme ne suffit pas à assurer un déploiement fluide et efficace de la solution que vous aurez retenu.
La facturation électronique modifie en profondeur la prise en charge des flux de factures entrants et sortants par vos équipes comptables.
Votre priorité : anticiper et mesurer ces impacts en amont pour établir au plus tôt un plan de conduite du changement viable.

Remettre le sujet à plus tard…

Selon la maturité de vos processus et outils, la marche à monter pour votre mise en conformité avec les exigences de la réforme peut être plus ou moins haute.
Ne pas profiter du report de la réforme pour engager un diagnostic et évaluer la hauteur de la marche, c’est prendre le risque de ne pas être prêt lors de sa mise en application.

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